Voilà une profession qui n’est pas toujours reconnue à sa juste valeur. Le prospecteur foncier a pour principale mission de chercher, de trouver et d’investir de nouveaux terrains. Il peut aussi « prospecter » pour le compte d’un client ou d’une entreprise, c’est-à-dire repérer des biens immobiliers, en location ou en vente, afin de les proposer à ces derniers.
Que fait un Prospecteur foncier ?
Le prospecteur foncier s’occupe principalement de la prospection, c’est-à-dire des études cadastrales, des relations avec les clients (particuliers ou entreprises) et même des collectivités locales ou/et bailleurs ou syndicats et associations… Gestionnaire de dossiers, il fait des repérages sur le terrain, s’occupe des visites, prépare les dossiers, participe à la négociation, monte les opérations foncières en relation avec un responsable technique, gère le suivi et rédige des études et autres rapports.
Qualités pour être Prospecteur foncier
Curieux, ordonné, le prospecteur foncier possède une excellente connaissance géographique des secteurs. Il doit avoir de solides compétences juridiques, notamment en droit de l’urbanisme et de la propriété et des aptitudes commerciales. Son sens de la communication, de la négociation sont aussi des qualités essentielles pour réussir dans ce métier. Rigoureux, dynamique et sachant faire preuve d’organisation, le prospecteur foncier est également force de persuasion.
Comment devenir Prospecteur foncier ?
Combien gagne un Prospecteur foncier ?
Un prospecteur foncier débutant perçoit 2250 euros brut par mois en salaire fixe auquel il faut ajouter une partie variable en fonction de l’ancienneté. En fin de carrière, son salaire grimpe jusqu’à 3000 euros brut par mois, sans les primes.