Journaliste animalier

Comme tout journaliste qui se respecte, le journaliste  animalier doit se documenter et recueillir d’abord de nombreuses informations sur le sujet en question. A lui, en lien avec le rédacteur en chef, de trouver également l’angle adéquat qui convient. Seconde étape, le le journaliste  animalier entre en contact, directement ou indirectement, via l’attaché de presse ou le chargé de communication, avec le(s) protagoniste(s).

Objectif ? Recouper les données informatives pour mieux les confronter et les hiérarchiser. Par exemple dans le cadre d’un portrait sur une personnalité emblématique du monde animalier, il s’agira d’obtenir de précieux témoignages qui permettent d’éclairer, soit le caractère ou l’action même de cette personne. Il est vital pour le rédacteur de bien vérifier ses sources, de préparer son matériel et de commencer à rédiger de manière claire et organisée, quel que soit le média.

Le rédacteur en chef in fine valide ou pas l’article avant de le publier ou de le programmer.

Curieux, autonome et organisé, le journaliste sait hiérarchiser l’information et la vulgariser afin qu’elle soit accessible au grand public. Patient et persévérant, il sait prendre des risques le cas échéant pour obtenir l’information, voire un scoop. Excellent rédacteur -le cœur de son métier – le journaliste  animalier est passionné d’animaux. Sensible, possédant un bon carnet d’adresses, il aime travailler en équipe et sait gérer le stress, notamment du bouclage.

Tout dépend de son expérience. Un journaliste  animalier junior gagne 2000 euros bruts par mois. Un professionnel expérimenté peut espérer percevoir entre 2500 et 3000 euros bruts par mois, surtout s’il occupe des responsabilités.